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Rallycross France: Julien Fébreau reprendra ses marques à Mauron

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Tandis que Julien Fébreau n'a toujours pas annoncé ses intentions en vue d'un éventuel programme en Rallycross, c'est sur la terre du championnat de France d'Autocross et du circuit de Mauron que le vainqueur de l'édition 2011 de Lohéac reprendra du service au début du mois d'avril.

La semaine dernière, Julien Fébreau a d'ailleurs eu l'occasion de tester le nouveau Sprintcar de la catégorie Supersprint du constructeur G-SPEED avec lequel il s'alignera sur ses terres bretonnes à l'occasion du coup d'envoi de la saison 2018. Au terme d'une séance distillée sur le circuit d'Issoudun cher à la fratrie Feuillade, Julien Fébreau retrouvera les rangs d'une catégorie des plus compétitives au sein de laquelle il demeure bien conscient qu'il n'aura pas la partie facile. Cette fois, et après plusieurs sorties au volant d'un Kamikaz ces dernières saisons, c'est avec Emmanuel Guénot de G-Speed que l'intéressé aura le loisir de reprendre les commandes d'une machine dont le rapport poids/puissance n'a assurément rien à envier à celui d'une Supercar.

"J'ai vraiment été surpris par l'approche adoptée par G-SPEED. Ils travaillent jour et nuit autour de leur châssis et sont toujours à la recherche d'idées et de solutions ingénieuses. Le Sprintcar que j'ai pu avoir entre les mains tombait tout juste des chandelles et je n'ai pas eu à me heurter au moindre problème de fiabilité"

Nouvelle venue sur la scène tricolore, la firme G-SPEED a permis à Julien Fébreau de trouver rapidement ses marques.

"On a progressé tout au long de la journée sur une piste détrempée mais pratiquable. A aucun moment nous n'avons chaussé des gommes neuves, mais cela ne nous a pas empêché d'améliorer nos chronos. Cette machine dispose d'un train avant d'une redoutable efficacité qui permet de l'inscrire facilement dans les virages" note Julien Fébreau qui était accompagné pour l'occasion par un certain Marc Laboulle tandis que deux de ses futurs équipiers en la personne de Tony Lhomond et Olivier Barré étaient également de la partie.

"Il y a un véritable esprit de groupe au sein de cette équipe. On sent que tout le monde est passionné et que tous participent activement au développement de cette machine"

Reste désormais à prendre la mesure d'un circuit de Mauron dont il ne connaît guère les spécificités.

"Au moins, je n'aurai pas à découvrir les spécificités du véhicule le jour de la course. Ma seule préoccupation sera de comprendre rapidement un circuit que je ne connais qu'en qualité de spectateur mais je suis conscient que ma tâche n'en sera pas pour autant facile. Le point positif, c'est que je vais arriver avec quelques arguments sous le coude. Je sais comment le véhicule réagit et c'est déjà une bonne première étape de validée"

Dans un championnat de France Super sprint où pas moins de quarante pilotes évoluent dans la même seconde, Julien Fébreau sait que la moindre hésitation coupable derrière le volant se soldera irrémédiablement par une chute conséquente dans la hiérarchie.

"Je suis lucide. Je sais que je m'attaque à une série ultra-relevée et que je ne me facilite pas la tâche en relevant ce défi. Ceci dit, c'est une catégorie tellement excitante que poursuivre mon apprentissage au volant de ces machines - même si cela doit se passer dans la douleur - vaut assurément le détour. Même s'il est toujours difficile de se fixer des objectifs et de nourrir des prétentions réalistes, je ne voulais pas rester sur ma déception de l'an dernier. Et puis, on ne sait jamais, cette reprise de la compétition pourrait peut-être me servir pour la suite de la saison 2018 s'amuse, clin d’œil à l'appui, Julien Fébreau.

Pour l'heure, c'est en direction de l'Australie pour la première étape du championnat du Monde de Formule 1 que le journaliste du groupe Canal + a mis le cap. D'ici-là, l'intéressé sera sans doute fixé quant à la suite de ses probables aventures à venir dans les rangs du championnat de France de Rallycross.